Joëlle Buisson dessine, peint depuis toujours. En 1989, elle découvre le Sumi-e (dessin à l’encre en japonais). Cette pratique liée à la méditation, où l’on apprend l’importance du vide, orientera toute sa démarche « c’est pour moi un exercice d’équilibre, de dosage. Il s’agit de faire naître et mettre à jour le vide, montrer ce qui est invisible. Le vide, structure de toute chose. »
L’épure jusqu’au silence, le trait jusqu’à la palpitation de la vie. Rien n’est plus chargé de sens qu’un simple trait : un trait n’est pas une simple ligne mais une entité vivante où il est question de rythme, de souffle, de respiration et de silence. Pour elle : une seule quête : Saisir ce qui est entrevu, le temps d’un regard. Transmettre l’indicible entre émerveillement et mystère
Ses sumi-e sont accompagnés de haïkus, poèmes en trois vers d’inspiration japonaise.
Un livre écrit par Roland Vashalde, « L’Art de Joëlle Buisson » présente son travail il est disponible aux Editions de La Fenestrelle.
Pour en savoir plus : Facebook et Instagram : Joëlle Buisson artiste peintre
Organisée par la Maison de Ma Région Alès
dans le cadre de la Quinzaine du Japon en terre cévenole (+ d’infos ICI)