Ceux qui l’ont vu s’en souviennent : Raymond Devos fut un phénomène rare. Comme les arcs-en-ciel de feu circulaire, comme les colonnes de lumière, comme les vents d’incendie, comme les nuages lenticulaires, il a surgi, miraculeux et mystérieux, derrière un rideau rouge qui s’ouvrait sur l’imaginaire. On n’avait jamais vu ça ! Et, devant cet homme en apesanteur, on avait le souffle coupé. François Morel
Dix ans qu’il n’était pas venu à Alès ! Nœud papillon, accompagné de son pianiste complice, il rend hommage et nous fait revivre l’incroyable jongleur des mots qu’était Raymond Devos. Avec gourmandise, il nous livre ce spectacle acclamé depuis sa création. Le célèbre chroniqueur de France Inter et interprète des Deschiens, ne livre pas simplement les textes de Devos, il les dit, les chante, les met à sa sauce et avec magie, il nous les rend vivants.
Raymond Devos, mesdames et messieurs, est un miracle qui est apparu, singulier, sur la scène du music-hall français. Il ne ressemblait à personne. Personne, plus jamais, ne lui ressemblera. C’est comme ça. Il faut se faire une raison. Même si on n’est pas obligé… de se faire une raison. Il est plus opportun en évoquant Devos de se faire une folie. François Morel
Parenthèse enchanteresse, hymne à l’humour, ce spectacle file à toute allure. On en voudrait encore de ces histoires qui disent tant de la condition humaine. Le Monde
Sobre, irrésistible, sans renoncer à sa propre personnalité, François Morel est d’abord un tendre passeur. Le Figaro
Une réussite due à l’alchimie parfaite entre l’absurdité poétique de Raymond Devos et la sensibilité lunaire de François Morel. Un pur bonheur. Télérama
Spectacle de et avec François Morel, textes Raymond Devos, avec Antoine Sahler ou Romain Lemire, musique Antoine Sahler, assistant à la mise en scène Romain Lemire, lumières Alain Paradis, son Camille Urvoy, costumes Elisa Ingrassia, poursuite Françoise Chapero ou Madeleine Loiseau, conception, fabrication et mise en jeu des marionnettes Johanna Ehlert et Matthieu Siefridt / Blick Théâtre, direction technique Denis Melchers, archives sonores INA (Radioscopie 1975).
Remerciements : Didier Gustin, Tullia Morand et la Fondation Raymond Devos (Maison-musée Raymond Devos à Saint-Rémy-lès-Chevreuse). Affiche : Pascal Rabaté (visuel) et Frédéric Méi (graphisme). Commande de Jeanine Roze Production pour les Concerts du Dimanche Matin. Les Productions de l’Explorateur, Châteauvallon, Scène nationale, La Coursive, Scène Nationale de la Rochelle, La Manekine, scène intermédiaire des Hauts-de-France. Production déléguée : Valérie Lévy assistée de Manon Pontais. Texte édité à l’Avant-Scène Théâtre.